La chaîne RAC1 a suscité la polémique en confirmant que le président de Barcelone, Joan Laporta, avait forcé Xavi Hernández à inclure le trio Robert Lewandowski, Ronald Araujo et Ilkay Gundogan dans l'équipe pour le match de Ligue des champions contre Anvers.
L'entraîneur catalan avait décidé de mettre au repos le trio, qui avait participé à la plupart des matches de cette saison, d'autant plus que Barcelone s'était qualifié pour les huitièmes de finale et n'avait rien à perdre lors du match contre le club belge.
Mais quelques heures plus tard, un changement a été apporté à la liste en ramenant le trio, et les journaux espagnols ont attribué cela à la décision de Xavi de réunir l'équipe en restant un jour supplémentaire en Belgique après le match contre Anvers.
Selon RAC1, la véritable raison était un appel de Laporta au cours duquel il soulignait la nécessité d'inclure le trio et imposait la question à Xavi, qui ne pouvait pas le refuser ou l'arrêter.
Cette décision a suscité une grande colère parmi les analystes de la presse espagnole, et certains ont considéré que c'était la première fois qu'un président de club s'immisçait de cette manière dans des décisions techniques qui n'avaient rien à voir avec lui, et certains ont ajouté que l'avenir de Xavi était en danger.
Mais le journal "Sport" a minimisé ces risques et a déclaré que la décision était venue d'un accord entre l'administration sportive et Xavi, et que la relation entre Laporta et Xavi était excellente malgré tout ce qu'on dit du contraire.
Ces dernières heures ont été témoins d'autres nouvelles selon lesquelles Gundogan, Lewandowski et Jules Kounde se sont retournés contre l'équipe d'entraîneurs de Xavi et estiment qu'il est la cause des crises de l'équipe après la défaite 4-2 contre Gérone.
Il est clair que l'ambiance dans le vestiaire de Barcelone n'est pas la meilleure de la période récente, et les mouvements de Laporta ajoutent aux flammes au lieu d'essayer de calmer le jeu, même sous les yeux des journaux.
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